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  Yves Donval

Atelier de la Place aux Cochons
12 rue du Port
29930 Pont Aven
TEL : 0 298 091 448

Lui écrire

 

TEXTES, MAXIMES et compagnies

 

Lettre ouverte du 05 octobre 2009

Je ne suis sûr de rien. Mon parcours artistique ?

Il se doit d'être diversifié afin de transmettre le plus simplement du monde, la vision de ma vie traversée par plus ou moins d'envie...
Entre Humour, peur et angoisse d'apprendre un jour que l'homme a déraillé sur le chemin périlleux de sa liberté durement acquise jusqu'à présent.
Je me cogne régulièrement la tête contre mes propres pensées négatives, afin de trouver le courage de sourire et de rire à la vie, tout le monde n'ayant pas, loin s'en faut, autant de chance que moi. J'aime l'humour et la dérision, cela m'est utile pour tenter de transmettre un peu d'amour et de joie de vivre.

Ceci est la parole réfléchie d'un spermatozoïde mécontent d'avoir gagné le gros lot.

La variété des couleurs employées sur mes toiles correspondent tout simplement à la diversité des cultures traversées. Nous avons tous une ou deux couleurs préférées, respectons celles des autres.

N'oubliez jamais que lorsqu'un petit vient à naître au monde, personne, je dis bien, personne, ne lui a demandé son avis. ATTENTION DANGER, si les crétins qui procréent, ne décidaient ni du nom, ni du prénom de leur progéniture, cela permettrait d'éviter une perte de temps et d'énergie considérables sur le chemin de la Liberté.

J’entends depuis mon enfance dire que la guerre est finie, qu'il est bon d'être ignorant, et de se laisser abrutir : Je vais m'arrêter là pour aujourd'hui, c'est un peu décousu, mais je ne suis pas couturière!

PS : Ceci est adressé à tous les imbéciles pédants et prétentieux qui veulent empêcher la terre de tourner rond.

Ah, j'oubliais : Imaginons un monde où tous les êtres seraient sourds et muets. Quel pied!
L'écriture serait Reine, la réflexion reprendrait le pas sur la parole en l'air et l'écoute impossible.
Devrais-je peut être réfléchir davantage avant de m'exprimer?
Après réflexion, il serait dommage que ces pensée aussi petites soit-elles, ne soient pas transmises.

(Par l'écriture plutôt que par le vent, n'est ce pas?)

Réponse de Sylvie Borin :

Juste le silence et l’écriture : Ainsi les chemins du cœur cesseraient de s’égarer, d’être abusés par le flot incessant de mots mal interprétés ou quelquefois mal compris, par le ton, celui qui souvent dénature l’essence même du message.
Que d’incompréhensions évitées, que de quiproquos stupides annulés de nos existences !
Tout me porte à penser que l’écriture est l’art d’ouvrir le cœur et d’en faire couler l’eau ; Cette eau, tantôt grondante, tantôt bondissante, joyeuse ou paresseuse, quelquefois rêveuse ou bien terre à terre, trouve toujours sur son chemin quelque unes ou quelque uns à s’y désaltérer.
Ces gouttes, pour certains, peuvent alors, avoir l’effet d’un élixir extrait de la Fontaine de Jouvence ou du puits de la connaissance.

Donc oui, Amour, chaque pensée mérite d'être transmise, et que les pires soient si amères et infectes qu'aucun ne soit tenté de s'y abreuver.

 

Il pleut des Oreilles sur Pont Aven, Hommage au Torero qui se la pète

Il est dix heures du mat’ sur Pont Aven
Lili enfile son portemanteau
Qu’il a l’air fier le Biscoteau !
Eh oui ! Ce n’est pas une lumière, car il ne brille pas au niveau
Du cerveau !

Rigolez ! Rigolez ! Les Taureaux, les Béliers, les Gémeaux….
Les balcons sont bourrés de monde pour applaudir le Torero !
Soudain, il surgit dans l’arène, plante ses banderilles en bandant comme un salaud !
Le sang lui est monté au ciboulot !
Tant pis pour ceux qui sont en Lice, ils vont mourir bientôt !

Maintenant, il est 16 heures sur Pont Aven.
Il ne reste plus que des cochons sans oreilles
Gisant dans leur sang,
Plein les caniveaux !
Lili a fini son boulot,
Il enlève son habit de lumière,
Il range son couteau,
Pour aller travailler dans l’ombre, le maraud !

Vivement demain ! Que Lili reprenne sa rengaine.
Il y aura à nouveau des bœufs dans les ruelles
Et des pleutres accrochés à leurs rideaux
Pour amuser le Toréro.
C’est vrai qu’on se marre bien à Pont Aven
Surtout lorsque fier, Lili porte le chapeau !

Texte de Liliput le Grand - Mai 2008

 

 

Lettre à la mie séparée :

Chère Sylvie, Je sais que tu as tenté de rejoindre le Sud Ouest de la France, il y a de cela trois bons mois avec un passeur de From-Ton.

Depuis, malheureusement, tout a bien changè dans notre beau pays.
La France est dorénavant coupée en quatre, chaque partie allant à la dérive et les moyens de communication ayant été rompus.

Je m'arrache les cheveux tous les jours en tentant d'avoir de tes nouvelles, en vain!

Si mon message ne se perd pas au fond de quelque morceau de Coulommiers ou de Munster, répond à ton sapeur camenbert.

Yves , Ton Amour qui pue des pieds, en attendant de le prendre.

 

Les Chefs d'entreprises ! Réveillez vous!

Alors maintenant, dès qu'ils ont signés leur contrat de travail, comme d'hab!!!, ils doivent passer à la visite médicale. Tu vas me dire qu'il n'y a rien de changé, ma Fille ! Et ben, si!

Dorénavant on leur implante une puce.
Ce qui te permet de rester peinanrd, chez toi.
Dès qu'ils font le moindre mouvement non répertorié sur leur fiche identitaire,
tu sais qu'ils se foutent largement de ta gueule,
et là, le pratique en ce cas précis,
c'est qu'ils explosent par simple pression de ton doight sur la telécommande
et sont immédiatement rechargeables.

Si tu ne comprends rien à ma prose, tu me le dis : Je t'explose! Ton Ben LaBenne
A consommer avec modération, bien sûr!!!

(Pont Aven Avril 2008)

 

Bonjour Mr Godart, Quel honneur au Moulin du Poulguin en ce soir!

Godart : Bonsoir

Que nous vaut votre venue?

Godart : Oui! Pont-Aven! Je suis à Pont-Aven! Pont-Aven? C'estr quoi? C'est l'Aven,; L'Aven, c'est quoi? C'est la rivière, la lumière, c'est quoi?
La lumière sur la ville, le clair obscur, la vision du peintre, qui , à peu près traduit pour le modeste cinéaste que je suis, en un plan général qui s'estompe peu à peu, c'est la lumière qui se lève sur un bateau qui part.... Deux passants sur le quai....Découvre alors le magnifique moulin. Un Moulin, c'est quoi? C'est une roue, que dis-je, deux roues qui tournent lentement, inexorablement, telles des bobines de film qui projettent le nouveau film que je crée.

Une film, c'est quoi?
C'est deux personnes dans ce moulin, qui regardent la roue tourner lentement, inexorablement. Le deuxième se fait chier, c'est visible et se recommande un verre de vin. Le personnel, trié sur le volet, de jolies jupes qui papillonnent, font le service, c'est mon casting! Le casting, c'est quoi? C'est choisir les bonnes personnes, le patron, toujours là pour servir le verre,

Texte de Gilles Clerc

Où est la rectitude de l'attitude ?

"J'aurais préféré vous en parler directement, mais il est vrai que j'ai préfére être un peu décalé.
Cela m'a évité de vous enculer" Ai- je dit un gros mot? .  Donval (Avril 2008)

 

Vous avez dit "Pas clairs"

Les humains ont le don de fabriquer des objets très laids sur terre.
Mais lorsque j'observe leurs reflets dans l'eau, je sais déjà que celle-ci reprendra très rapidement ses droits.
(Pont Aven- Avril 2008)

Certitude

Savez vous pourquoi les mangeurs d'hommes se portaient à merveille?
Tout simplement Monsieur, parce qu'ils savouraient leurs mets;  Contrairement à nous, les hommes blancs qui ne pensions qu'à les bouffer.

Pont Aven Février 2008

 

 

Texte envoyés à mes amis et à mes collectionneurs
( Décembre 2005)

Chers amis

Quand j'avais dix sept ans, elle me dit de croquer la pomme. J'étais un peu naif, aussi je lui demandai de préciser : "De quelle pomme s'agit-il?"
Elle me répondit : "Celle qui rend heureux, mon Ami!"
Je suis allé chez le marchand de couleur pour acheter de quoi colorier ce fruit.
Je me mettais au travail, et V'lan, là j'ai croqué la Vie!
Une vie, il est vrai quelquefois pourrie qu'il fallait embellir à tout prix, les pépins étant bien là, à l'intérieur du fruit.

Aujourd'hui, je continue donc, à user mes pinceaux, comme j'ai usé mes fonds de culottes sur les bancs de l'école et j'avance ainsi dans l'existence.
Heureux, tous ceux qui ont su croquer la pomme, la vie les aide bien.

Je vous souhaite à toutes et à tous, une heureuse année 2006, pleine de bonnes pommes;

Surtout, chers amis, évitez à tout prix, de croquer les pourries.

Yves Donval

 

« Nous entendons par là des ouvrages exécutés par des personnes indemnes de culture artistique, dans lesquels donc le mimétisme, contrairement à ce qui se passe chez les intellectuels, ait peu ou pas de part, de sorte que leurs auteurs y tirent tout (sujets, choix des matériaux mis en œuvre, moyens de transposition, rythmes, façons d’écriture, etc.) de leur propre fond et non pas des poncifs de l’art classique ou de l’art à la mode. Nous y assistons à l’opération artistique toute pure, brute, réinventée dans l’entier de toutes ses phases par son auteur, à partir seulement de ses propres impulsions. De l’art donc où se manifeste la seule fonction de l’invention, et non, celles, constantes dans l’art culturel, du caméléon et du singe. »

— Jean Dubuffet, L’art brut préféré aux arts culturels, 1949 (Manifeste accompagnant la première exposition collective de l’Art brut à la Galerie Drouin, reproduit dans Prospectus et tous écrits suivants, Gallimard, 1967)

 

« L’art ne vient pas coucher dans les lits qu’on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu’on prononce son nom : ce qu’il aime c’est l’incognito. Ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle. »

— Jean Dubuffet. 1960

 

 

 
 

 

 


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